Ça y est, nous y sommes.
La porte s'ouvre, Chat est à côté de moi.
Vague sourire un peu bécasse. Pas le temps de fermer la porte.
Nous nous embrassons.
Très vite à pleine bouche, goulument.
Il me dit bonjour, se redresse, tend le bras et ferme la porte. Ça serait quand même con de ne plus en avoir! Je vire mes lunettes et nous nous embrassons de nouveau.
Du bout des doigts, j'explore son cou, son torse. Il frissonne. Je le renifle. Je touche son visage, notamment sa barbe. Je ne suis pas habituée à ce contact. Ses mains courent sur moi. Mes épaules, ma poitrine, mes jambes, tout ce qu'il peut toucher.
J'apprécie beaucoup sa manière entière d'embrasser. C'est franc, sans retenue et sensuel.
Nos souffles sont courts et c'est assez électrique.
Un instant, je me dis que les passants doivent bien se marrer à nous voir nous galocher de la sorte.
Je crois que ce moment a duré un certain temps. Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c'est que je vais passer une bonne soirée.
Notre comptabilité confirmée nous nous observons. Dans ma tête, ça fait "Oh yeah! En plus il me plait!"
Il me demande où je souhaite que nous allions. Franchement, j'ai seulement envie de faire valser sa chemise et découvrir son corps, bizarrement pas forcément de baiser même si ma chatte est trempée. D'ailleurs, par jeu nous décidons que nous ne baiserons pas ce soir. Il va de soi que toutes les autres options sont permises.
- J'ai envie de te faire une proposition malhonnête.
- Oui, laquelle?
- Allons chez moi.
Sauf que Monsieur a faim. Nous dinerons donc d'abord. En plus, il a raison, j'ai faim aussi.
Dans la rue, j'éprouve le besoin de le toucher. Pas spécialement comme si j'avais envie de le caresser, seulement de le toucher pour apprivoiser sa présence. Ça tombe bien ça ne le gène pas. Nous avançons en discutant. Jusque là ça va, ça continue d'être fluide.
Nous nous arrêtons à la terrasse d'une brasserie abritée dans une petite rue. La serveuse s'approche une première fois pour nous demander si nous avons fait notre choix. Sauf que non, nous n'avons même pas encore ouvert le menu. Faut dire que nous sommes assez occupés à nous bouffer du regard et à papoter.
Commande en route, je m'amuse à faire courir mes doigts dans l'ouverture de sa chemise parce qu'il a l'air d'apprécier. Je joue à lui couper le sifflet ainsi en le faisant frissonner quand j'atteins son cou. Je lui touche le visage également, il embrasse mes mains au passage. Sourires et regards en coin entendus.
Une fois de plus nous bénissons notre amie!
Il avait été question plus tôt dans la journée que je quitte ma culotte lors d'un repas au resto. C'est un grand classique mais ça me fait toujours autant délirer et c'est l'occasion rêvée. Il m'en reparle justement et ajoute:
- Si c'est possible, j'aimerais que tu ôtes ton soutien-gorge également.
- Ça me semble tout à fait possible.
Je me serais volontiers exécutée à table mais l'étroitesse de ma jupe crayon m'oblige à renoncer. Je termine ma cigarette, sors de table non sans faire un détour par sa chaise. Je me plaque contre son flanc, attrape son visage et l'embrasse sans aucune pudeur pour les tables voisines. J'en profite pour jouer avec sa nuque. Décidément, trouver les coins à frissons me plait bien.
Je quitte la terrasse et reviens quelques minutes plus tard. Mon tanga tient dans ma main, j'ai coincé mon soutien-gorge à la ceinture de ma jupe et je m'auto-congratule d'avoir un haut assez long pour le cacher plus ou moins. Je re-fais un détour par sa chaise. Nouveau baiser langoureux.
Je glisse mon string dans l'encolure de sa chemise et dépose mon soutien gorge sur ses genoux avant de regagner ma place.
- Heu mais j'en fais quoi moi, maintenant? Et où est ta culotte?
- Tu te débrouilles, ça n'est pas mon affaire. Ma culotte est dans ta chemise.
Il se marre, tâte sa chemise, localise le bout de tissu et cherche une solution pour planquer mon soutif.
Nous avons presque terminé de diner. Il me dit, une clope et on y va?
Avec grand plaisir. Nous regagnons ma voiture et je lui rappelle toutefois que nous ne baiserons pas.
Conduire avec la jupe remontée autour de la taille, des mains baladeuses sur soi et des doigts inquisiteurs, n'est pas forcément aisé quand on est excitée comme je le suis mais je m'en tire honorablement et nous arrivons chez moi.
La porte s'ouvre, Chat est à côté de moi.
Vague sourire un peu bécasse. Pas le temps de fermer la porte.
Nous nous embrassons.
Très vite à pleine bouche, goulument.
Il me dit bonjour, se redresse, tend le bras et ferme la porte. Ça serait quand même con de ne plus en avoir! Je vire mes lunettes et nous nous embrassons de nouveau.
Du bout des doigts, j'explore son cou, son torse. Il frissonne. Je le renifle. Je touche son visage, notamment sa barbe. Je ne suis pas habituée à ce contact. Ses mains courent sur moi. Mes épaules, ma poitrine, mes jambes, tout ce qu'il peut toucher.
J'apprécie beaucoup sa manière entière d'embrasser. C'est franc, sans retenue et sensuel.
Nos souffles sont courts et c'est assez électrique.
Un instant, je me dis que les passants doivent bien se marrer à nous voir nous galocher de la sorte.
Je crois que ce moment a duré un certain temps. Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c'est que je vais passer une bonne soirée.
Notre comptabilité confirmée nous nous observons. Dans ma tête, ça fait "Oh yeah! En plus il me plait!"
Il me demande où je souhaite que nous allions. Franchement, j'ai seulement envie de faire valser sa chemise et découvrir son corps, bizarrement pas forcément de baiser même si ma chatte est trempée. D'ailleurs, par jeu nous décidons que nous ne baiserons pas ce soir. Il va de soi que toutes les autres options sont permises.
- J'ai envie de te faire une proposition malhonnête.
- Oui, laquelle?
- Allons chez moi.
Sauf que Monsieur a faim. Nous dinerons donc d'abord. En plus, il a raison, j'ai faim aussi.
Dans la rue, j'éprouve le besoin de le toucher. Pas spécialement comme si j'avais envie de le caresser, seulement de le toucher pour apprivoiser sa présence. Ça tombe bien ça ne le gène pas. Nous avançons en discutant. Jusque là ça va, ça continue d'être fluide.
Nous nous arrêtons à la terrasse d'une brasserie abritée dans une petite rue. La serveuse s'approche une première fois pour nous demander si nous avons fait notre choix. Sauf que non, nous n'avons même pas encore ouvert le menu. Faut dire que nous sommes assez occupés à nous bouffer du regard et à papoter.
Commande en route, je m'amuse à faire courir mes doigts dans l'ouverture de sa chemise parce qu'il a l'air d'apprécier. Je joue à lui couper le sifflet ainsi en le faisant frissonner quand j'atteins son cou. Je lui touche le visage également, il embrasse mes mains au passage. Sourires et regards en coin entendus.
Une fois de plus nous bénissons notre amie!
Il avait été question plus tôt dans la journée que je quitte ma culotte lors d'un repas au resto. C'est un grand classique mais ça me fait toujours autant délirer et c'est l'occasion rêvée. Il m'en reparle justement et ajoute:
- Si c'est possible, j'aimerais que tu ôtes ton soutien-gorge également.
- Ça me semble tout à fait possible.
Je me serais volontiers exécutée à table mais l'étroitesse de ma jupe crayon m'oblige à renoncer. Je termine ma cigarette, sors de table non sans faire un détour par sa chaise. Je me plaque contre son flanc, attrape son visage et l'embrasse sans aucune pudeur pour les tables voisines. J'en profite pour jouer avec sa nuque. Décidément, trouver les coins à frissons me plait bien.
Je quitte la terrasse et reviens quelques minutes plus tard. Mon tanga tient dans ma main, j'ai coincé mon soutien-gorge à la ceinture de ma jupe et je m'auto-congratule d'avoir un haut assez long pour le cacher plus ou moins. Je re-fais un détour par sa chaise. Nouveau baiser langoureux.
Je glisse mon string dans l'encolure de sa chemise et dépose mon soutien gorge sur ses genoux avant de regagner ma place.
- Heu mais j'en fais quoi moi, maintenant? Et où est ta culotte?
- Tu te débrouilles, ça n'est pas mon affaire. Ma culotte est dans ta chemise.
Il se marre, tâte sa chemise, localise le bout de tissu et cherche une solution pour planquer mon soutif.
Nous avons presque terminé de diner. Il me dit, une clope et on y va?
Avec grand plaisir. Nous regagnons ma voiture et je lui rappelle toutefois que nous ne baiserons pas.
Conduire avec la jupe remontée autour de la taille, des mains baladeuses sur soi et des doigts inquisiteurs, n'est pas forcément aisé quand on est excitée comme je le suis mais je m'en tire honorablement et nous arrivons chez moi.
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