lundi 23 juillet 2012

Igor, le retour.

Samedi.
Je suis rentrée tôt ce matin après une nouvelle incroyable soirée en compagnie de Dédé. 
L'après-midi est déjà bien avancé quand je vais faire un saut sur un site échangiste bien connu.
J'y croise Igor qui vient me saluer.
Ça fait un moment que je n'ai pas eu de ses nouvelles. Nous nous racontons vaguement nos dernières escapades en nous disant qu'il faut qu'on s'organise un diner parce que c'est chiant par claviers interposés. 
Au bout d'un temps, il me demande si j'ai quelque chose de prévu le soir même. Je lui réponds que non même si j'ai bien une petite idée... Je préfère le laisser venir en l'interrogeant sur son programme de la soirée. Je n'ai pas envie de m'imposer et puis en bonne fillasse que je suis, j'aime bien me faire courtiser!

Assez vite, il me dit:

- Tu veux venir chez moi, ce soir?
- Oui!

Pas besoin d'ajouter quoi que ce soit. Nous nous organisons rapidement et décidons que je débarque chez lui vers 20h30.

J'arrive en retard après m’être copieusement perdue, comme toujours.
J'ai revêtu une petite robe marine virevoltante soulignant ma taille. Je l'ai associée à une paire de sandales rouges à très hauts talons. J'ai tiré mes cheveux en un gros chignon perché sur le sommet de mon crâne.

Toujours aussi pimpante, dit-il en m'accueillant.

Nous nous installons sur son balcon pour l'apéro. Nous parlons beaucoup de tout, de rien, de nos aventures, de ses amours compliquées et de Dédé que j'aimerais qu'il rencontre. Les grandes discussions qui se poursuivent à l'intérieur pour diner. Il me fait rire parce qu'il ne sait pas trop à quoi s'en tenir. Il passe près de moi en me frôlant, laissant une main glisser dans mon dos. Je reste de marbre sans aucune réponse ni indice pouvant indiquer une quelconque ouverture de ma part.
Je suis incorrigible... J'aime bien jouer.

Nous venons de finir une glace, installés sur le canapé. Le champagne m'a un peu étourdie mais pas assez pour m’assommer. Nous discutons toujours mais, je me suis approchée. J'ai replié mes jambes sous moi, genoux collés contre lui.

Il semble toujours aussi perplexe face à mon attitude. Je prends donc sa main pour glisser son pouce dans ma bouche, le regard gourmand.
C'est tout de suite plus clair et plus facile pour lui!

Tout doucement, il avance sont visage vers moi pour m'embrasser. Nous passons un long moment ainsi. Baisers profonds, effleurements, lèvres mordillées, cous explorés. Ses baisers sont d'une très grande sensualité que j'apprécie beaucoup. Il semble apprécier ceux que je lui rends bien volontiers.

Lentement, nous nous laissons aller... Nos mains glissent sur nos bras, nos épaules, nos nuques, mes seins qu'il empoigne et tente d'approcher d'un peu plus près en déboutonnant ma robe. 

Je me recule pour me dégager un peu. Un grand sourire aux lèvres, je fais valser cette robe. Il découvre un charmant ensemble de lingerie froufroutant de couleur claire qui met en valeur ma peau dorée par le soleil des vacances. 



C'est très joli. J'aime beaucoup mais, je crois que tu serais encore plus belle sans. Dit-il en dégrafant mon soutien gorge.



Je ne suis plus vêtue que de mon tout petit string. Il me bascule en arrière pour m'en débarrasser non sans s'être attardé sur mes tétons.

Je suis à présent allongée, nue. Ses mains remontent le long de mes jambes qu'il écarte lentement pour se placer entre elles. Il joue quelques instant en faisant courir ses doigts sur mon pubis puis sur mes lèvres qu'il écarte délicatement. Il vient placer son visage au dessus de mon sexe ouvert et déjà bien humide. Il l'embrasse avant de happer mon clito qu'il mordille et lèche à merveille. Rapidement, l'un de ses doigts, puis deux glissent dans ma fente en un mouvement de vas et vient rapide frottant très précisément cette zone si sensible de ma chatte. J'ondule au même rythme, un main posée sur sa tête l'obligeant à plus de pression encore. 
J'essaie de contrôler mon plaisir pour profiter de ce que je ressens et retenir ma jouissance pour qu'elle soit encore plus explosive. Ca n'est pas simple car il sait drôlement bien y faire!
Je soulève un peu ma main pour le laisser respirer avant de plaquer à nouveau son visage contre moi. Le plaisir est de plus en plus intense. Je sens l'orgasme monter, monter, monter... Et éclater. Je gémis plus violemment et je perçois mes contractions le longs de ses doigts restés en moi. 

A suivre...

mardi 17 juillet 2012

Fly me to the moon 2




Mine de rien, la température est montée d'un cran.

Avec mon air malicieux, je lui lance un

Et si nous allions nous promener un peu au dessus?

Nous quittons le jacuzzi pour grimper les marches menant à l'étage. Il y a toujours aussi peu de monde. Nous trouvons donc rapidement un salon où nous installer.
Il choisit un espace pouvant être clos. Il a visiblement envie que nous soyons un peu seuls.

Je fais rapidement sauter mon paréo puis le sien en l'invitant à grimper sur le matelas en hauteur. Nous sommes à genoux, face à face. Je laisse glisser ma main sur son visage puis sur son torse légèrement, à peine en l'effleurant. Il se saisit de mon visage pour m'embrasser. Je me dégage rapidement en lui disant:

Non, c'est moi qui décide.

Il sourit.

Je lui demande de se tourner légèrement, le dos vers un mur contre lequel je le pousse doucement avant de reprendre l'exploration de son corps. D'abord, ses épaules que je dessine du bout des doigts. Puis ses pectoraux où je m'attarde sur ses tétons.

Es-tu sensible, ici? Aimes-tu?

Oui, mais il faut des caresse légères qui ne durent pas trop longtemps.

Je poursuis en arrivant sur son ventre et ses hanches. Sans crier gare, je me saisis de son sexe. Rivant mon regard dans le sien, je le branle alternant lenteur et vigueur, un sourire au coin des lèvres. Il gémit doucement et j'entends sa respiration accélérer. Je stoppe tout pour l'observer. Il semble surpris et un peu déstabilisé. J'aime bien faire ça. J'aime sentir et observer le désir des hommes pendant ces quelques instants où rien ne se déroule comme ils s'y attendaient.

Reprenant sa queue dans ma main, je me penche pour poser mes lèvres sur le bout de son gland. J'y laisse glisser un peu de salive pour mieux lubrifier et rendre ses sensations encore plus agréables. Millimètre par millimètre, ma bouche descend le long de sa tige. Dans un dernier mouvement un peu plus brusque, je plonge la tête en avant pour le sentir jusque au fond de ma gorge. J'enchaine alors sur un mouvement profond, relativement rapide et régulier tout en le branlant. De temps en temps, je réitère l'opération "aussi loin que possible dans ma bouche." Je salive abondamment mais je sens sur mes papilles le gout si particulier du liquide séminal. Ses mains ont saisi mes cheveux pour me guider. Il me retient en arrière à bout de souffle.

Je me relève légèrement, le bas du visage barbouillé de bave. Je m'essuie du revers de main en le regardant, toujours avec ce sourire en coin...

Ah, oui, tu le prends sur ce ton?! Dit-il en me forçant à m'allonger, les fesses au bord du matelas.
Exactement! C'est comme ça que je le prends.

Il est descendu au sol et m'ouvre brutalement les cuisses avant de poser le plat de sa main sur mon ventre. Son avant bras appuie légèrement sur ma chatte. Il remonte délicatement pour me caresser les seins.
Moi, je suis excitée comme une puce. Je me tortille mais il m'immobilise. Sa main est venue explorer mon sexe.

Mais, tu es trempée!

Je reste silencieuse. J'ai tellement envie qu'il passe à autre chose que ces effleurements! Alors, il se décide à glisser l'un de ses doigts dans ma fente avant de poser sa bouche sur mon clito. Il me dévore littéralement. A présent, deux de ses doigts sont en moi. Le rythme est effréné. Je sens le frottement en moi, mon clito stimulé sans cesse. Compte tenu de mon excitation, je jouis très vite l’inondant copieusement au passage. Il ralentit pour me laisser reprendre mon souffle. 

Pas très longtemps, en fait.

Avant de repartir sur le même rythme d'enfer et de me faire partir une seconde fois.

Dès lors, je n'ai plus qu'une idée en tête: avoir sa queue en moi.

Prends-moi. Maintenant! lui dis-je entre deux halètements.

Il ne se fait pas prier et enfile très vite un préservatif.

Je suis restée sur le dos et c'est comme ça qu'il vient s'enfoncer en moi. C'est brutal, bestial, sans aucune délicatesse mais c'est comme ça que je veux qu'il me prenne. Ses coups de reins sont frénétiques. Sa queue est extrêmement tendue, je sens sa raideur le long de mes parois. J'adore! Je tente de ne pas perdre pied trop rapidement mais c'est peine perdue car je suis à nouveau prise d'un monstrueux orgasme qui m'envoie valser très loin. Un partie de moi perçoit les mouvement intenses et rapide mains une autre partie à la tête dans les étoiles.

Je ne sais pas combien de temps tout ça a duré. Au bout d'un moment, il est venu s'affaisser sur moi, le souffle coupé, trempé de sueur.

Nous sommes restés comme ça quelques minutes, un peu désorientés avant de partir dans un énorme fou rire sans doute nerveux...












dimanche 8 juillet 2012

Fly me to the moon




Je l'ai rencontré il y a quelques mois lors d'une supère soirée fofolle avec Dédé. Nous avions vraiment bien joué ensemble.
Beau mec, fin mais pas maigre, fan de blagues nulles, jolie bite et bon baiseur. Que demander de plus?!
Nous avions échangé nos numéros mais nos agendas respectifs avaient compliqués une éventuelle nouvelle rencontre.

Jusqu'à vendredi.
Texto de sa part me demandant si je ne serais pas disponible le lendemain soir.
Pour l'heure, je n'ai rien de spécial de prévu j'accepte donc son invitation.

Nous décidons de nous retrouver là où nous nous étions rencontrés: un célèbre sauna libertin parisien. J'arrive plie à l'heure mais le quartier est impossible pour se garer. Je le récupère. Il me réserve un très chaleureux accueil constitué d'une pelle atomique. Nous partons en chasse d'une place de parking que nous trouvons étonnamment vite.
Monsieur est plus bel homme que dans mon souvenir, il faut bien l'avouer, passablement alcoolisé. C'est une bonne surprise! De surcroit, il confirme ma bonne impression quant à un intellect bien fait.

Nous nous rendons sur notre lieu de débauche en devisant de choses et d'autres. Passage obligé par le vestiaire pour nous dévêtir. Je fais appel à sa dextérité pour me défaire de ma robe dont la fermeture éclair n'est pas facilement accessible seule. Je dégage ma nuque pour l'aider. 

Ah! J'adore! La vache! C'est hyper sensuel ton truc! Et, mama mia! Quelle chute de reins! dit-il sur un ton ravi avant de venir dévorer mon cou à grands coups de baisers langoureux.
Évidemment, je glousse comme une dinde.

Nous voilà donc seulement vêtus de paréos accoudés au bar. Le lieu est assez désertique pour l'heure. Pas très étonnant. Il est tôt et nombreux sont ceux qui ont fuit la capitale en ce début juillet si pluvieux.

Nous décidons d'aller voir si le constat est le même du côté de la zone humide et de coins câlins.

Deux ou trois couples et un ou deux hommes seuls se trouvent dans le grand jacuzzi. Rien de bien folichon à première vue... A l'étage, même constat: c'est presque désert.

Je regarde le monsieur et je lui jette un malicieux: Ça n'est pas très grave... Les gens vont probablement arriver plus tard et nous avons largement de quoi nous occuper l'un avec l'autre.

Il me confirme d'un grand sourire.

Nous redescendons et allons faire un tour dans la jacuzzi.

Il va s'installer sur l'un des rebords et m'attire contre lui pour un long et profond baiser. Me plaquant plus fermement contre lui, il dit:

Je suis très content de te revoir.

Si j'en juge par la dureté de sa queue pressant contre mon ventre, je veux bien le croire!

Il me repousse légèrement pour me soulever un peu et laisser apparaitre mes seins en dehors de l'eau.

Ah! Ces seins... Tu sais qu'ils ont largement alimentés mes fantasmes depuis notre rencontre? Tout comme une certaine chevauchée... Ajoute-t-il l'air réveur avant de plonger sa tête dans ma poitrine.

Nous restons longuement dans ce jacuzzi à nous tripoter plus ou moins chastement puisqu'il est interdit de vraiment jouer ici.

Enfin, chastement... Façon de parler.
Est-ce vraiment chaste de me faire jouir en frottant son sexe contre le mien?




A suivre...