vendredi 25 janvier 2013

Live! Epilogue.





Épilogue:
 

Avec tout ça, il est 5 heures du matin. Je bosse dans 4 heures et il est censé recevoir son gros client.
Je suis morte de fatigue.
Je me rhabille rapidement pendant qu'il sort un pot de nutella et des petits beurre en s'installant sur le comptoir de la cuisine.
 
- T'as faim?

- Non, j'ai sommeil. Il faut que je dorme.

- Ça va être l'enfer demain.



Il me raccompagne à ma voiture en s'assurant que tout va bien.
Quand j'arrive chez moi, deux textos m'attendent sur mon téléphone.

"RDV FB"
"A très bientôt.......
Je t'embrasse."


Je répond par un simple ";-)" avant de m'effondrer dans mon lit.

La journée du lendemain est effectivement compliquée. C'est plus de mon âge de faire la bamboula jusqu'à pas d'heure en pleine semaine! Je suis épuisée et dois lutter pour rester éveillée.

Et puis, je n'arrive pas à me concentrer.

Étonnamment, cette soirée a galvanisé mon désir.
Je suis littéralement en chaleur, excitée comme une puce. Je crève d'envie d'avoir Dédé sous la main parce que je sais qu'avec lui ça sera forcément au top. Je sais que quoiqu'il arrive nos envies se rencontrent systématiquement.

Je ne sais pas si je reverrai le cuisiniste.
J'ai apprécié cette soirée, c'est un garçon intéressant mais je pense que si suite il y a, ça serait plus sur le mode "potes."

Et puis, une fois de plus, à croire que je m'en fais une spécialité, il est célibataire, "enfin, pas, vraiment, c'est compliqué, tu comprends."
C'est pas que ça me dérange mais bon, j'ai déjà un certain nombre de mecs en couple dans mon carnet d'adresse et c'est chiant à gérer en termes de planning.


Live! 7




Je le fixe avec un sourire en coin:


- Baise-moi.

- OK.



Tu vois, je te l'avais dit que j'avais deux ou trois arguments...
Je me lève et me dirige vers la table où est posé mon sac. J'y attrape rapidement des préservatifs en m'asseyant sur le repose pieds.
Il vient devant moi.
Je ne suis décidément pas douée avec les capotes.
Je m’emmêle les doigts et ne parviens pas à l'enfiler.
Il se débrouille donc tout seul.

Et il me prend, enfin.

Sauf que moi j'ai envie d'un truc un peu sauvage et qu'il y va doucement malgré le rythme que je tente d'imprimer avec mon bassin.
C'est pas que ce soit désagréable mais bon, c'est un peu chiant.
Je continue à onduler en lui disant:

- Plus fort.

Ça doit l'énerver un peu parce qu'il accélère mais c'est toujours pas ça.
Grmlmlblml

Voyons voir... Je tente un "prends mon cul."

Il s'exécute. Sa queue rentre comme dans du beurre mais pareil... Ca manque de fureur, de bestialité, de fougue et de piquant.
C'est très décevant.

Alors, je lâche l'affaire. Je déteste cette situation.

Je me redresse, vire le préso et le termine avec ma bouche.


Live! 6





- Mais, si! 

- Non. Je veux prendre mon temps. Je veux cuisiner pour toi et que nous dinions ensemble un soir prochain. Ensuite, je te prendrai.



Alors là, mon garçon, tu te fourres le doigt dans l’œil parce que moi, j'ai décidé que tu allais me prendre, me baiser, m'enfiler, me niquer, me foutre, me sauter, me fourrer genre maintenant. C'est pas que je sois contre un bon repas mais là, pour l'instant, mon estomac n'a pas besoin d'être rempli. Par contre, ma chatte, c'est une autre histoire.

Et puis, si tu le prends sur ce ton, autant te dire que tu es un homme mort... Je crois que j'ai deux ou trois arguments qui pourraient te faire changer d'avis.

Je viens placer mon visage très près de son oreille. Dans un souffle...

- Je pense que tu n'as pas compris. Je veux que tu me baises. Je veux sentir ton gland contre mes lèvres. Je veux me sentir m'ouvrir sous la poussée de ta queue. Je veux te sentir en moi.

Prenant l'une de ses mains pour la placer sur ma gorge:

- Je veux cette main là, me serrant un peu pendant que ton autre mains agrippe mes cheveux.

Le repoussant brutalement:

- Viens.

Fallait pas me chercher...

Je l'attire vers le canapé et lui fait comprendre que son pantalon et son caleçon ne sont plus les bienvenus.
Je le fais s'assoir en éclatant de rire.

- Tes chaussettes, ça ne va pas être possible.

Je crois bien qu'il est un peu déstabilisé et ne sait plus trop à quel nichon se vouer.
Parfait, c'est ce que je voulais.

Cette fois-ci, c'est moi qui me place entre ses jambes. Je n'en fini pas d'enrouler ma langue autour de son gland, de jouer avec son frein, mes yeux rivés dans les siens. Je prends tout mon temps pour laisser gouter ma salive au sommet de sa bite. Cette salive s'écoule sur mes deux mains que j'ai jointes autour de son sexe avant de l'avaler complétement.

Subitement, je lâche tout.



Live! 5

Petite pause, donc. Le temps que monsieur reprenne son souffle.

Nous reprenons nos verres et nous installons face au poêle qui diffuse maintenant une forte chaleur.
Je m'installe sur ses cuisses. Je me dis que ça doit être marrant à observer: un modèle réduit calé sur un géant.

Nous reprenons la conversation là où nous l'avions laissée plus tôt jusqu'à en venir à causer politique. C'est un peu surréaliste parce que nous débattons activement dans la pénombre, lui débraillé et moi seulement couverte de mes bas et mes escarpins.
Évidemment, nous ne sommes pas d'accord. De toute façon, je crois bien que rien que pour le jeu et parce que je suis une emmerdeuse, je n'aurais pas été d'accord. 

Dis, tu veux pas qu'on bouge de là? Parce que si ça continue, tu vas finir par me retrouver toute fondue et répandue sur le sol. Je suis en train de cramer.
Il me soulève et nous réinstalle exactement comme plus tôt: moi sur le repose pieds, sur le dos et lui à genoux face à mes jambes largement ouvertes.

Et c'est reparti...

Langue, doigts partout, soupirs.

Ah! Youpi! Là, ça marche vachement mieux!

Et il s'acharne.

Mince, j'aurais peut être du le prévenir que, comment dire..., j'ai la jouissance humide. 

Heureusement, je suis sur du cuir. Par contre, je ne peux rien faire pour les pans de chemise!

Comme 90% des hommes, il est d'abord surpris puis tout joyeux.
Je ne sais pas pourquoi, mais ça rend les mecs assez dingues lorsqu'une femme gicle. Peut être est-ce une preuve plus tangible de notre jouissance? Ou bien, c'est une histoire de mimétisme et lorsqu'ils nous voient fontainer, ça leur rappelle leur propre éjaculation?
Allez savoir!

Bizarrement, même si j'ai jouis en mouillant tout, cet orgasme me laisse sur ma faim.
Je veux plus.
Je veux être baisée.
Fort.
A fond.

Je choppe son visage en me redressant et lui assène:

- Baise-moi.

- Non



Comment ça, non?  C'est une plaisanterie, y'a une caméra de planquée quelque part, Béliveau et ses moustaches vont débarquer?

jeudi 24 janvier 2013

Live! 4




C'est pas mal même s'il est un peu surpris par mon piercing au clito.

Il glisse un doigt dans ma chatte et un autre dans mon cul.

Bah, ça va, fait comme chez toi!

En fait, je m'en fous complétement. De toute façon, moi, j'ai envie de baiser et j'aime bien quand les mecs ne sont pas timides.

J'agrippe la peau de mon pubis pour la tendre et rendre mon clito encore plus accessible et saillant. J'ouvre largement mes jambes que je tends en une sorte de grand écart.
Il est plutôt doué, mais bizarrement, même si je prends beaucoup de plaisir, je ne jouis pas.
Pourtant, il y met tout son cœur... ses doigts font des va et vient rapides en moi, sa langue s'agite sérieusement et ça dure, ça dure...

Mais, rien. Je suis perplexe quand il se relève.

Si ça ne marche pas comme ça, voyons à quoi ressemble sa queue...

Je gagne le bord du repose pied où je m'assieds. Sa braguette est pile face à mon visage.
Je glisse une main sous sa chemise en contractant mes doigts. Mes ongles descendent sur son torse très lentement. J'imprime plus ou moins de pression.
De l'autre main, j'ai saisi sa ceinture que j'ai ouverte. Je passe la main sur son pantalon et je sens son sexe tendu sous le tissus.
Sa bite n'a pas un calibre exceptionnel, à priori. Pour m'en assurer, je détache les boutons qui l'emprisonne.

Dessous, je découvre un boxer noir doté d'une ouverture. J'y plonge la main et en sors sa queue.
En effet, son chibre bien que de taille tout à fait honorable est un modèle standard. J'avoue être un peu déçue. J'apprécie de plus en plus les queues épaisses qui peinent parfois à me pénétrer tant leur taille est quelque peu exubérante.
Je me dis aussi que c'est peut être pas plus mal, parce qu'il sera plus facile à sucer.
Les grosses bites, c'est bien mais j'ai une petite bouche!

Levant les yeux vers lui, je dégage son gland et vient jouer avec grâce à la pointe de ma langue.
Il a l'air apprécier. J'entreprends de le sucer en alternant mouvement de main et bouche en salivant abondamment avant de le caler tout au fond de ma gorge.
De toute évidence, il adore. Il gémit et accompagne mes mouvements de ses hanches poussant son sexe au plus profond. Il semble très excité jusqu'à perdre un peu le contrôle et a baiser ma bouche. J'en ai presque des haut-le-cœur tellement il y va fort!

Au bout d'un moment, il rejette ma tête en arrière pour m'empêcher d'accéder à sa queue.

Heu, je crois qu'on va fumer une clope, là parce que sinon, je pars en 30 secondes me dit-il.



Live! 3




Je crois que j'ai réussi mon petit effet. 

Il m'attrape le visage et m'embrasse. C'est goulu, un peu envahissant mais j'aime bien.
J'ai horreur des baisers trop retenus. Je les aime fougueux et profonds. Là, je suis servie et je me dis que ça présage d'une bonne partie de cul.

Il sait que je vis seule avec mon fils et qu'il est donc hors de question que nous allions chez moi. Il propose donc naturellement que nous allions chez lui.
Nous récupérons ma voiture, nous perdons un peu de vue sur la route. Heureusement, il habite une ville voisine de la mienne que je connais bien. De ce fait, nous nous retrouvons rapidement.
Une fois garée, il me demande si ça ne m'ennuie pas de rester dans ma voiture quelques minutes, le temps pour lui de me préparer une surprise.

Ma foi, fais garçon...

Lorsqu'il revient, re-belotte, ouverture de porte et tutti quanti.

Nous sommes dans ce qui ressemble à d'anciens ateliers. Il y a un côté très industriel.
Après un long couloir, nous pénétrons chez lui.

Ah, ouais, quand même! 

Je me retrouve dans un loft.

Il a tiré d'énormes rideaux de velours noir devant ce qui doit être des baies vitrées.
Il y a une hauteur sous plafond de fou. Sur ce plafond sont projetés des reflets imitant des ondulations aquatiques. C'est la seule source de lumière.
Sur ma droite, je vois ce qui ressemble à des enceintes. Sauf qu'elles sont gigantesques et plus grandes que moi. Elles diffusent une musique lounge et lascive. Face à ces enceintes se trouve un canapé long de pas loin de 4 mètres.
Tout est disproportionné. Je me sens toute petite et j'ai froid.

Pas de problème... Il allume un poèle à bois et me propose un verre de Saint Estèphe.

J'ai un peu du mal à me réchauffer. L'air froid passe sous ma jupe et vient me glacer le cul.

Il tire une espèce de grand repose pied près du poêle et m'y étend sur le dos. Seule mes jambes restent au sol.

Clope, feu de bois, bon vin, bonne compagnie. Je trouve que mon sort pourrait être pire.

Il prend mon verre et ma clope pour les déposer sur une table toute proche et vient se placer devant mes jambes.
En se baissant, il les écarte pour se mettre à genoux entre elles. Ma jupe remonte lassant apparaitre ma peau laiteuse dont la blancheur est accentuée par la bordure noire de mes bas. Il me contemple d'un air satisfait.

Je tends la main pour saisir sa chemise et l'attirer à moi. Je me suis un peu redressée pour défaire les boutons doucement en le fixant.

Ça marche à tous les coups ce truc là!

Je le repousse doucement et me lève.
Je défais la fermeture de ma jupe que je laisse tomber à mes pieds.
Je suis de dos mais, je sais qu'il regarde et que dans son caleçon, ça doit être comme dans le métro aux heures de pointe.

Je me retourne et constate que j'ai vu juste.

Je regagne le repose pieds sur lequel je viens me mettre à genoux. De nouveau, je lui tourne le dos et entreprends de me défaire de ma blouse que j'envoie valser dans un coin. Je ne suis plus vêtue que de ma lingerie, mes bas et mes talons.

- Il parait que mon cul vous rend dingue. Qu'en penses-tu? lui dis-je en me cambrant.

A priori, ça aussi ça marche parce qu'il m'attrape et me force à m'allonger. Très vite, en soulevant mes fesses, il vire mon string et plonge le visage entre mes jambes.


Live! 2



Pour une fois, je ne suis pas en retard et ne tourne pas trop pour me garer.
J'arrive pile à l'heure du rendez-vous.

Merde, mais qu'est-ce que c'est que ce rade? 
SOS
C'est moche et glauque.
Je suis à deux doigts de faire demi-tour.
Bon, en même temps, maintenant que je suis là, ça serait con.
J'entre dans le bar, du coin de l'oeil je vois un grand balèze au téléphone dehors.
Je croise le serveur qui aurait mieux sa place dans un funérarium. Celui-là, je suis certaine que si je lui file un de mes bas, il se pend avec dans l'arrière salle tellement il a l'air joyeux.

Je m'installe sans retirer mon manteau prête à me carapater rapidement si ça continue sur le même mauvais plan.

Quelques secondes plus tard, le grand balèze entre et se dirige vers moi.

- Je crois que nous avons rendez-vous... me dit-il.
- Oui, il me semble.

Bonjours d'usage, il s'installe tout sourire.
Il ne fait aucun doute que je lui plais.
De mon côté, c'est plus mitigé.
Même si j'aime les grands baraqués, il a un côté nounours que je n'aime pas spécialement.
M'enfin, bon, laissons sa chance au produit et au lieu de rester sur cette première impression, voyons ce qu'il me raconte.

La conversation est fluide. Il me parle de ses expériences passées, de sa vie de libertin et fini par me raconter sa life en me demandant conseil sur une propal' de boulot de grande envergure qu'il a reçu dans l'après-midi.
C'est un peu étrange. Il s'en rend compte et me dit:

-Je suis en train de te raconter un truc dont tu n'as probablement rien à cirer mais tu es la seule personne à qui je peux en parler parce que tu ne me connais pas et que je ne te connais pas. Tu es un terrain neutre. Au fait, je m'appelle Le cuisiniste. (C'est ce que m'a immédiatement inspiré son pseudo.)
-V .

Nous papotons comme deux copains. Il est enjoué. C'est sympa. Jusqu'à ce qu'il m'explique (dans les grandes lignes) que je suis quand même bien bonnasse. 

Je souris et il me propose de quitter cet endroit parce que vraiment, c'est pas possible.
 
Il m'embarque dans son énorme 4x4.
J'apprécie sa bienséance lorsqu'il m'ouvre la porte et m'aide à grimper dans le véhicule.
A partir de là, je lui explique que je lui laisse carte blanche pour notre destination.
Il passe 2 ou 3 coups de fils et nous atterrissons dans un piano-bar dans le 5ième.
Je n'aime pas trop l'endroit qui ne cadre pas avec le personnage mais les mojitos n'y sont pas mauvais. D'ailleurs, je me sens un peu ivre.
Nous continuons à rire ensemble en nous découvrant des goûts et des expressions communs. Nous sommes bien plus détendus.

En parallèle, Dédé suit l'évolution de ma soirée. Je me m'en cache pas. Le cuisiniste ne s'en formalise pas et est bien content que je lui montre le sms que je suis en train d'envoyer et qui dit en substance que je passe une bonne soirée.

Il se fait tard. Nous quittons le bar.
De nouveau, il m'ouvre la porte de la voiture et m'aide.
J'attends qu'il entre également.
Clé de contact, etc.

Je lui dis de mon air angélique teinté de secrétaire salope (merci les cheveux longs, le chignon et les lunettes.):

- C'est quand qu'on baise?


Live!





Maintenant que je suis de nouveau complétement opérationnelle, j'ai repris mes activités parallèles...

Je retrouve mes petits camarades peu à peu et ça me fait le plus grand bien. Ils me permettent de m'évader de mon quotidien quelque peu lugubre.

Dédé, évidemment... Bien que le temps passe, nous nous faisons toujours le même effet de dingue et c'est génial. Quelle chance!

Il y a aussi les autres que je vois moins souvent mais avec lesquels je m'amuse bien.

Et puis, le potentiel nouveau...


Samedi dernier, je me connecte sur un site échangiste bien connu. Ça faisait un moment que je n'avais pas pris le temps de faire le tour des messages reçus.
J'y découvre qu'en novembre l'homme d'un des couples avec lequel nous avons joué de temps en temps avec Dédé a changé de camarade de jeu et me signale son nouveau profil. Amusant.

Juste en dessous, le message d'un parfait inconnu.
Je lis.
Photo sympa de mains sur un piano, syntaxe convenable.
J'explore la fiche.
Le profil me plait: ma tranche d'âge, près de chez moi, des attentes qui semblent similaires aux miennes et une taille de géant. L'idée de me retrouver face à une personne me dépassant de 40 cm me fait sourire.

J'ai donc répondu à ce message vieux de plusieurs mois.

Lundi soir, je constate un retour de sa part.

Pas de chance, il n'est pas chez lui et consulte le site depuis son téléphone. Ça bugue terriblement et rend toute communication impossible.

Rapidement, il me laisse son numéro en me disant "up to U!"

Je ne sais pas trop pourquoi mais je répond par texto...

Bonsoir,
Etes-vous joueur?
F.

Oui
C'est même mon métier...

Musique... Et les autres sens du terme?

Aussi, tout dépend des joueurs...

Sans doute présomptueux (encore que), jouons, voulez-vous?

Quelles sont les règles? Mais avant tout... quel est ce jeu?

Vous réfléchissez trop. (comme je tardais à répondre.)

Pas de règles (quelle horreur!) seulement du jeu avec un brin de loufoquerie.
En RP, en ce moment/cette semaine?


Non seulement absolument nulle en texto (les ongles longs n'aident pas!)

Téléphonez-moi...
J'ai 2 minutes.

Pas moi! Mes murs ont des oreilles adolescentes...

Ok. Bon, je vous écoute.

Blind date mercredi.

Le jeu est commencé?

Absolument (Auriez-vous du mal sans partition?)

Oullllaaaaaa..... Vous avez l'écriture facile belle enfant... Qu'en est-il de votre verbe?!
Impatient de vous rencontrer...

J'attends toujours le jeu....

Écriture et verbe comme mon plumage, évidemment! Modestie oblige.
(
NB: j'ai fait une annonce à la con à base de femme fabuleuse recherche homme incroyable. Et modeste (comme moi.))

Jeu simple, pour commencer. Cf. Blind date.

Cf. Blind date?
Merci de traduire cette date noire....
(Ca me fait tiquer. Qui ne peut traduire cette expression???)

Rencontre à l'aveugle...

Haaaaa.....
Ok
Ca j'adore!

J'entends: ni vous, ni moi ne sait à quoi l'autre ressemble précisément et lieu publique (sans doute un peu folle mais pas assez pour m'embarquer dans quelque chose d'inconscient.)
Donc, mercredi.


Début de soirée. 20h/21h.

Ok...

20h30

Vendu. 20h30 mercredi.
Je vous dirai où.
Je vous souhaite une agréable nuit. Je m'en retourne à de saines lectures. (Saviez-vous que la sexualité des super-héros est passablement déviante?)


Douce nuit... F.

Il se trouve que mercredi était hier.