samedi 10 mars 2012

Tony G. 4

C'est qu'il ne s'arrête pas en si bon chemin le bougre!

Il me laisse seulement quelques instants de répit pendant lesquels il me dit qu'il adore ça en faisant référence à ma fontainisation avant de replonger tête la première entre mes jambes.
Et c'est reparti pour un tour...

Sauf que, c'est bien gentil tout ça mais moi, j'aime être active...

Je me redresse légèrement en m’appuyant sur mes coudes. Je l'observe un peu. J'aime voir... Une pensée fugace pour Dédé me traverse l'esprit. Un instant, je me dis qu'il faut que je parvienne à retenir un maximum d'informations pour les retranscrire plus tard. Mon excitation n'en n'est qu'accrue.

D'une main, je saisis les cheveux de Tony et le force à relever la tête. Il me regarde interrogateur. Je souris en me dégageant. Je parviens à m'assoir et glisser mes genoux sous moi. Il me fait face dans une position presque identique.

Alors, je pousse ses épaules pour le faire tomber en arrière.

C'est à moi de jouer, maintenant. Lui dis-je, un sourire carnassier au coin des lèvres.

Il semble un peu surpris et déstabilisé mais il me laisse faire.Il se retrouve sur le dos. J'allonge ses jambes et viens me placer sur lui, à califourchon.
Je laisse filer ma main sur son visage, puis son torse en opérant de longues arabesques. En reculant, je continue mon exploration jusqu'à son sexe que j'observe avec attention tout en le caressant doucement. J'aime bien son sexe, d'ailleurs. Plutôt rose, la taille de son gland est en harmonie avec sa tige. Je ne me souvenais plus que son pubis était si rebondi.

Je suis à présent à genoux entre ses jambes. Sa queue est très très tendue dans ma main. Je fixe mon regard dans le sien en me penchant très lentement. Éloge de la lenteur...
Je pose seulement le bout de son sexe au bord de mes lèvres toujours les yeux rivés dans les siens. Je sais qu'il est très impatient que je l'engloutisse. Il m'a déjà dit à plusieurs reprises qu'il avait tout particulièrement aimé la manière dont je l'avais sucé la dernière fois que nous nous étions vus.
Je suis joueuse... Alors, je ne bouge plus. Sauf mes doigts courant tantôt sur sa queue, tantôt sur ses couilles. Il semble s'impatienter ce que je comprends parfaitement puisque je n'y tiens plus moi-même!

Alors, j’entrouvre mes lèvres pour les laisser glisser centimètre après centimètre jusqu'à le sentir dans le fond de ma gorge. Mes yeux n'ont pas bougé d'un pouce.  Lui, par contre, a basculé sa tête en arrière, bouche grande ouverte laissant échapper un râle.

C'est le moment que je choisis pour changer totalement de rythme. J'accélère, frénétique. Je le suce furieusement, le branle en même temps. Je salive un maximum, joue avec son frein, alterne les petites succions rapides avec une prise profonde. Il s'agite beaucoup, soupire, gémit.

Brutalement, m'arrachant sa queue des lèvres, il se redresse. Je n'ai le temps de rien dire, ni faire. Il se place sur les genoux devant moi, se penche pour soulever mes fesses et me fourrer à nouveau son sexe dans la bouche. Je suis à quatre pattes. il empoigne mes cheveux et m'impose son rythme. Ses hanches tanguent d'avant en arrière de plus en plus vite. Je sens ses doigts se contracter sur mon crâne... Il explose...

A suivre...
















dimanche 4 mars 2012

Tony G. 3

Je suis étendue de tout mon long sur le lit. Tony écarte doucement mes jambes et vient se placer entre elles.
L’œil gourmand, il observe ma chatte, la détaille, repousse délicatement mes lèvres, joue avec mon capuchon pour mieux faire ressortir mon clito. Ça dure un moment et c'est très agaçant! Je me tortille...

Il sourit en se penchant vers moi comme s'il voulait humer mon intimité, connaitre mon odeur. Il me confirmera d'ailleurs par la suite qu'il est très sensible à cette perception, tout comme au goût.

Je frémis à l'instant où sa langue rencontre mon sexe. Elle entreprend le même jeu que ses doigts précédemment. Délicieusement énervant.

Et puis, d'un coup, d'un seul, sans je ne comprenne bien comment il s'y prend, il happe mon clito pour le mordiller tout en enfonçant deux doigts dans ma fente.

Je lâche un très élégant "Oh merde!" qui le fait rire.

Quelque chose ne va pas?
Ah non, alors! Tout va même très très bien!

Alors, il a continué avec seulement ses doigts. En crochet. Doucement. Puis de plus en plus vite. Encore et encore. 

Je remue et tangue. Mon souffle rapide s'emballe pendant que mes gémissements se font de plus en plus sonores. Je sens le plaisir arriver par vagues de plus en plus profondes et violentes. Je me cabre et lâche prise... 

Les bruits que j'entends me font comprendre qu'il a de nouveau trouvé l'interrupteur déclenchant le phénomène fontaine.

A suivre...