Il se met à l'aise en sirotant son verre.
Tu n'as quand même pas été bosser comme ça?
Ben, si, pourquoi? Certes, ma robe est courte et mes talons hauts mais j'ai un collant très opaque tout à fait décent.
Ouais, tu parles... Tu dois rendre les mecs complétement dingues à te balader comme ça! (Voilà un homme qui sait parler aux femmes!)
Viens donc inspecter ma tenue de plus près et réviser avec moi...
Il vient s'étendre près de moi... Nous relisons ensembles quelques passages qui manquent, à mon gout, de précision. Nous rions de bon cœur à des délires qui, je pense, ne feraient rire personne d'autre.
Ses mains sont parties à l'assaut de mes jambes. J'ai vraiment du mal à comprendre ce qu'il me dit. Mes quelques neurones disponibles sont concentrés sur son contact qui me rend dingue. Je palpite de partout mais je suis bien décidée à ne pas lui sauter dessus tout de suite. J'ai envie de lutter un peu et de le laisser continuer son exploration.
Ses doigts sont remontés... Il masse doucement ma chatte au travers le tissus. C'est divin. Désir et envie à leur paroxysme.
Je crois que j'ai un peu perdu les pédales à ce moment là... Il faut dire que nous nous faisons un effet qui touche à la démesure. Perdre la tête en lâchant totalement prise, ça parle à quelqu'un?
Je me souviens de m'être retrouvée à genoux sur le lit, les yeux masqués, la bouche obstruée, les mains liées dans le dos, lui me décrivant ce qu'il voyait dans le miroir et ce que cela provoquait chez lui. Je me souviens de ses mains, de son sexe, de sa langue partout sur moi et en moi. Je me souviens de la morsure du martinet à laquelle je ne m'attendais pas. J'adore qu'il me manipule ainsi. J'aime me sentir objet entre ses mains. Je me souviens des orgasmes successifs.
Je me souviens surtout d'un orgasme monumental qui m'a laissée sans voix.
Il s'active dans mon cul, à genoux entre mes jambes alors que je suis sur le dos... Je le vois, j'observe son visage, son corps, le plaisir évident qu'il est en train de prendre. Je glisse mon pied dans son cou, sur son torse. Sa queue énorme me laboure sans fin, tantôt doucement, tantôt à grands coups de reins furieux. Je me sens un peu déconnectée de la réalité. Je ne suis plus qu'une masse sensitive jouissant sans orgasme à chaque seconde. Jusqu'à ce que brutalement, sans prévenir, un colossal orgasme m'emporte. Alors qu'il continue à m'enculer, que je tremble de partout, je l'inonde d'un geyser comme je n'en ai jamais produit.
Je suis en sueur, haletante et... trempée! J'avais déjà jouis avec mon cul mais, je dois bien admettre que je suis stupéfaite par la violence du truc tant par l'intensité que par sa manifestation "fontainesque".
Heu... Comment t'as fait ça au juste?!! Tu recommences quand tu veux à mes faire jouir comme ça! C'est énorme (Oui, oui, comme ta bite!), j'en reviens pas!
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