C'est pile le moment que je choisis pour utiliser la cravache sur ton sexe: un petit coup bref qui claque fort.
Tu sursautes en grognant sur ton fauteuil, autant de surprise que de plaisir. Je souris en coin.
Tu sursautes en grognant sur ton fauteuil, autant de surprise que de plaisir. Je souris en coin.
Je me penche un peu vers toi pour te susurrer au creux de l'oreille: Ce n'est qu'un aperçu de ce qui t'attend.
Je m'éloigne alors et me place face à toi. J'ôte ma robe en prenant tout mon temps, lien après lien, bouton après bouton. Le tissus glisse le long de mes hanches et termine sa course à mes pieds. J'avance d'un pas. Je ne suis plus vêtue que de mes bas, de mes escarpins et.... de la cravache.
Tu aimerais que je te libère, n'est-ce pas? Tu aimerais pouvoir me prendre, là maintenant tout de suite, profiter de mon corps, de ma chatte, de ma bouche et de mon cul? Le moment n'est pas venu et il n'est pas dit qu'il vienne ce soir...
Mes faveurs se méritent et pour l'instant, je ne vois qu'un homme nu, fiévreux et sans défenses.
J'adore jouer avec toi, comme ça. Je sais que ton esprit est brouillé par la fièvre et par le désir. J'ai envie de te faire perdre pied.
De le pointe de la cravache, je relève ton visage. Celle-ci descend ensuite le long de ton corps pour te faire comprendre que je souhaite que tu écartes les jambes. Tu obtempères, forcément...
Je m'approche de toi et viens me placer entre tes jambes. Mes seins viennent caresser ton visage.
Je me retourne rapidement.
Tu as mon cul en gros plan. Je sens derrière moi que tu tentes d'approcher ton visage.
Non, n'y pense même pas.
Tu n'en auras pas l'occasion, de toute façon, puisque je me baisse un peu en m'appuyant sur tes cuisses pour que mes fesses viennent frôler ta queue puis s'y frotter franchement.
Je pousse le vice jusqu'à laisser ton gland se poser contre ce si petit orifice que tu aimes tant prendre.
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