jeudi 24 janvier 2013

Live! 3




Je crois que j'ai réussi mon petit effet. 

Il m'attrape le visage et m'embrasse. C'est goulu, un peu envahissant mais j'aime bien.
J'ai horreur des baisers trop retenus. Je les aime fougueux et profonds. Là, je suis servie et je me dis que ça présage d'une bonne partie de cul.

Il sait que je vis seule avec mon fils et qu'il est donc hors de question que nous allions chez moi. Il propose donc naturellement que nous allions chez lui.
Nous récupérons ma voiture, nous perdons un peu de vue sur la route. Heureusement, il habite une ville voisine de la mienne que je connais bien. De ce fait, nous nous retrouvons rapidement.
Une fois garée, il me demande si ça ne m'ennuie pas de rester dans ma voiture quelques minutes, le temps pour lui de me préparer une surprise.

Ma foi, fais garçon...

Lorsqu'il revient, re-belotte, ouverture de porte et tutti quanti.

Nous sommes dans ce qui ressemble à d'anciens ateliers. Il y a un côté très industriel.
Après un long couloir, nous pénétrons chez lui.

Ah, ouais, quand même! 

Je me retrouve dans un loft.

Il a tiré d'énormes rideaux de velours noir devant ce qui doit être des baies vitrées.
Il y a une hauteur sous plafond de fou. Sur ce plafond sont projetés des reflets imitant des ondulations aquatiques. C'est la seule source de lumière.
Sur ma droite, je vois ce qui ressemble à des enceintes. Sauf qu'elles sont gigantesques et plus grandes que moi. Elles diffusent une musique lounge et lascive. Face à ces enceintes se trouve un canapé long de pas loin de 4 mètres.
Tout est disproportionné. Je me sens toute petite et j'ai froid.

Pas de problème... Il allume un poèle à bois et me propose un verre de Saint Estèphe.

J'ai un peu du mal à me réchauffer. L'air froid passe sous ma jupe et vient me glacer le cul.

Il tire une espèce de grand repose pied près du poêle et m'y étend sur le dos. Seule mes jambes restent au sol.

Clope, feu de bois, bon vin, bonne compagnie. Je trouve que mon sort pourrait être pire.

Il prend mon verre et ma clope pour les déposer sur une table toute proche et vient se placer devant mes jambes.
En se baissant, il les écarte pour se mettre à genoux entre elles. Ma jupe remonte lassant apparaitre ma peau laiteuse dont la blancheur est accentuée par la bordure noire de mes bas. Il me contemple d'un air satisfait.

Je tends la main pour saisir sa chemise et l'attirer à moi. Je me suis un peu redressée pour défaire les boutons doucement en le fixant.

Ça marche à tous les coups ce truc là!

Je le repousse doucement et me lève.
Je défais la fermeture de ma jupe que je laisse tomber à mes pieds.
Je suis de dos mais, je sais qu'il regarde et que dans son caleçon, ça doit être comme dans le métro aux heures de pointe.

Je me retourne et constate que j'ai vu juste.

Je regagne le repose pieds sur lequel je viens me mettre à genoux. De nouveau, je lui tourne le dos et entreprends de me défaire de ma blouse que j'envoie valser dans un coin. Je ne suis plus vêtue que de ma lingerie, mes bas et mes talons.

- Il parait que mon cul vous rend dingue. Qu'en penses-tu? lui dis-je en me cambrant.

A priori, ça aussi ça marche parce qu'il m'attrape et me force à m'allonger. Très vite, en soulevant mes fesses, il vire mon string et plonge le visage entre mes jambes.


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