Vendu!
Retrouvons-nous dans ce club parisien connu pour ses pratiques BDSM.
Nous sommes donc samedi soir. Dédé et moi n'avons pas pu nous voir depuis 15 jours.
Bien entendu, nous sommes en contact grâce à nos téléphones dont nous usons et abusons mais nous sommes en manque.
Retrouvons-nous dans ce club parisien connu pour ses pratiques BDSM.
Nous sommes donc samedi soir. Dédé et moi n'avons pas pu nous voir depuis 15 jours.
Bien entendu, nous sommes en contact grâce à nos téléphones dont nous usons et abusons mais nous sommes en manque.
Cette semaine là, nous avons joué à nous énerver très fort par un hallucinant échange de sextos qui m'a valu toutes les peines du monde à m'endormir tellement j'étais excitée.
Le lendemain, je rencontrais le cuisiniste. Dédé avait tout suivi de la soirée et moi je finissais épuisée mais bouillonnante de désirs.
Autant dire que nous sommes au taquet!
Nous nous retrouvons dans un bar pour prendre un verre.
Évidemment, nous avons des tas de trucs à nous raconter. Alors, ça papote comme deux vieilles copines: nos enfants, nos copains, nos copines, nos anecdotes rigolotes, etc. C'est chouette.
Sauf que...
Nous avons très très envie l'un de l'autre.
Il est tôt, nous avons du temps devant nous.
Direction le premier hôtel qui passe.
Je crois que nous sommes restés habillés au moins 30 secondes.
Retrouver nos peaux, nos bouches, nos sexes. Raaaaaahhhhhhhhhhh!
Ses doigts sur moi me rendent complétement folle et j'adore l'air étonné qu'il prend en regardant sa queue quand il me dit:"Non, mais, c'est fou comme tu me fais bander dur."
Et c'est un bon résumé de l'effet que nous nous faisons.
Lui est doté d'un engin hors norme. Comme tout engin hors norme, il n'est pas toujours évident de le faire bander vraiment dur. Sauf que lorsque nous sommes ensemble, ben, aucun problème. Et c'est ça qui le laisse perplexe.
Quant à moi, ben, c'est simple, rien que l'idée de sa queue dans ma bouche mouille mon string.
C'est comme ça. Comme si nous étions connectés.
Et ce soir là, nous nous sommes drôlement connectés!
Nous baisons sauvagement et violemment comme deux affamés. Il me fait jouir en un quart de seconde avec sa bouche puis ses doigts et enfin sa queue à grands coups de reins, sans aucune retenue.
Moi, je joue avec sa queue. J'adore ça. J'adore le prendre entre mes doigts et masser son sexe lubrifié par ma salive en laissant un doigt s'égarer dans son cul. Je sais que voir mes longs ongles rouges glisser sur sa tige peut le faire jouir très vite et que ça le rend dingue. Et comme savoir ça me rend aussi dingue ben, vous voyez quoi!
C'est giga bon aussi parce que nous savons que tout sans exclusion est possible, que nous n'avons aucune pudeur à avoir et que nos désirs mutuels s'alimentent.
Il est au bord de l'orgasme à plusieurs reprises. Il lutte mais je le tue alors que je suis à genoux au bord du lit, sa queue dans ma chatte.
Conversation post-coïtale:
- Rmmhummmmmm, hein?
- Ouais. J'ajoute miamhaaaaaa.
Effondrés dans des positions bizarres sur le lit, impossible de dire autre chose. C'est souvent comme ça après avoir baisé dans ces moments où nous n'avons pas encore retouché terre, tout étonnés du pied que nous venons de prendre. Et, ça nous fait bien marrer.
Nous reprenons notre souffle en faisant nos courses dans un programme passant à la télé:
- Elle, on la fait pas payer.
- Elle, ok, mais vite fait.
- Dis-donc, t'as vu son cul?!!
- Ahhhhhh, elle, je crois qu'on pourrait lui faire mal, nan?
Nous sommes comme deux gosses à nous bidonner de nos conneries.
Rapide douche et ravalement de façade... Nous partons.
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