Nous montons l'escalier en colimaçon, lui aussi très casse-gueule.
A l'étage, à droite, une grande pièce avec croix de Saint André, une drôle de chaise et le cheval d'arçon sur lequel je m'étais retrouvée la dernière fois que je suis venue ici. Il a changé de pièce puisqu'il se trouvait précédemment dans un petit salon.
Nous retrouvons la blonde aux fesses nues. Elle est installée dessus à califourchon, la croupe offerte.
Un homme est devant sa tête pendant que l'autre caresse son sexe en expliquant que c'est une salope offerte.
Il y a pas mal d'hommes seuls observant la scène. Je sais que Dédé n'aime pas trop ça. D'ailleurs, très vite, il me dit "Viens..." en m'entrainant vers la sortie.
Nous furetons rapidement vers les deux autres pièces de l'étage.
La table gynécologique est toujours là mais le petite pièce attenante a changé de déco.
Au lieu du cheval d'arçon et d'un grand miroir se trouve un bureau et un fauteuil.
Je me marre en disant:
Zut alors! Plus de grand miroir! Tu te souviens de mon fou-rire ici?
Il sourit.
Nous regagnons alors le bar.
La femme aux bras entravés est maintenant debout au milieu de tout le monde. Ses mains sont liées et maintenues en l'air grâce à un crochet du plafond.
Elle est exposée, immobile et silencieuse.
Son dominant la positionne comme il l'entend, comme un objet.
Très franchement, je suis totalement hermétique à ce genre de pratiques. Je n'arrive pas à comprendre où est le plaisir. Avec Dédé, nous nous disons que nous ne devons pas être assez cérébraux pour comprendre et qu'il est temps d'aller fumer une clope. Et ce d'autant plus que le couple peu assorti (la blonde en latex et son mec moche) s'y dirigent.
A l'étage, à droite, une grande pièce avec croix de Saint André, une drôle de chaise et le cheval d'arçon sur lequel je m'étais retrouvée la dernière fois que je suis venue ici. Il a changé de pièce puisqu'il se trouvait précédemment dans un petit salon.
Nous retrouvons la blonde aux fesses nues. Elle est installée dessus à califourchon, la croupe offerte.
Un homme est devant sa tête pendant que l'autre caresse son sexe en expliquant que c'est une salope offerte.
Il y a pas mal d'hommes seuls observant la scène. Je sais que Dédé n'aime pas trop ça. D'ailleurs, très vite, il me dit "Viens..." en m'entrainant vers la sortie.
Nous furetons rapidement vers les deux autres pièces de l'étage.
La table gynécologique est toujours là mais le petite pièce attenante a changé de déco.
Au lieu du cheval d'arçon et d'un grand miroir se trouve un bureau et un fauteuil.
Je me marre en disant:
Zut alors! Plus de grand miroir! Tu te souviens de mon fou-rire ici?
Il sourit.
Nous regagnons alors le bar.
La femme aux bras entravés est maintenant debout au milieu de tout le monde. Ses mains sont liées et maintenues en l'air grâce à un crochet du plafond.
Elle est exposée, immobile et silencieuse.
Son dominant la positionne comme il l'entend, comme un objet.
Très franchement, je suis totalement hermétique à ce genre de pratiques. Je n'arrive pas à comprendre où est le plaisir. Avec Dédé, nous nous disons que nous ne devons pas être assez cérébraux pour comprendre et qu'il est temps d'aller fumer une clope. Et ce d'autant plus que le couple peu assorti (la blonde en latex et son mec moche) s'y dirigent.
Dédé veut la voir de plus près. Par contre, il est prévenu que son mec, c'est no way.
Nous nous retrouvons au fumoir avec eux. Je profite d'un fil dépassant de la robe de la nana pour engager la conversation. "Pardon... Vous êtes si jolie que ce fil ne mérite pas d'être là." dis-je en cachant ce fil disgracieux.
Elle me sourit. Nous papotons 5 minutes de choses et d'autres et tout compte fait nous nous barrons vite fait... Ils ne nous intéressent pas... Elle est bien foutu mais son visage est assez disgracieux. Sans compter que "ça" ne passe pas.
Nous nous retrouvons au fumoir avec eux. Je profite d'un fil dépassant de la robe de la nana pour engager la conversation. "Pardon... Vous êtes si jolie que ce fil ne mérite pas d'être là." dis-je en cachant ce fil disgracieux.
Elle me sourit. Nous papotons 5 minutes de choses et d'autres et tout compte fait nous nous barrons vite fait... Ils ne nous intéressent pas... Elle est bien foutu mais son visage est assez disgracieux. Sans compter que "ça" ne passe pas.
A suivre...